Les professionnels de l’éducation, au premier rang desquels, les enseignants, sont moins susceptibles d’adopter des comportements de santé à risque que les autres salariés, à profil sociodémographique et de santé similaire. Pour autant, des marges de progression existeraient, via la promotion d’un mode de vie actif. Telle est la conclusion d’une étude menée par la Fondation d’entreprise MGEN pour la santé publique dans la cohorte épidémiologique « généraliste » Constances. Les comportements de santé étant un levier important de santé publique, ce résultat met en lumière le rôle des professionnels de l’éducation, comme modèle et source de transmission, dans le domaine de l’éducation à la santé. Ces réflexions et analyses seront présentées par Marie-Noël Vercambre au 16th World Congress on Public Health (WCPH) qui se tiendra de façon virtuelle du 12 au 16 octobre 2020 (wcph2020.com/index.php). Voir la page axe « Santé et travail ».